Cet été, je profite de mes vacances pour réaliser une idée sur la simplification de mon habitat.
Quelques observations :
L’architecture évolue grâce aux nouveaux matériaux et à leurs nouvelles applications.
L’histoire de l’art montre une répétition dans les styles et les modes.
La décoration d’intérieur est le miroir sociologique d’une société.
En essayant de faire abstraction de cela, quel serait mon habitat « idéal minimum » ?
L’architecture évolue grâce aux nouveaux matériaux et à leurs nouvelles applications.
L’histoire de l’art montre une répétition dans les styles et les modes.
La décoration d’intérieur est le miroir sociologique d’une société.
En essayant de faire abstraction de cela, quel serait mon habitat « idéal minimum » ?
Mon outil de recherche est une tente « sibley 400 » Canvascamp. J’ai choisi la toile de tente parce que c’est une structure simple, légère et qu’elle reflète deux extrêmes de notre époque, les loisirs et la pauvreté. Le loisir parce qu’une grande partie de l’économie est basée sur celui-ci et la pauvreté parce que la toile de tente devient « un symbole visible » pour diverses organisations (humanitaires, sans domicile, aide aux sinistrés, …), que beaucoup de gens vivent et meurent sous des tentes, toute l’année en France (SDF dans les bois de Vincennes, de Boulogne,…). Ce travail n’est pas une étude sociologique, mais plutôt une « installation » (dans le sens premier du terme).
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